"Avec Henri Vidersan nous aboutissons, par deux cheminements différents, à la même conclusion : à travers une remise en cause de la validité du « Postulat de l'Invariance de la Vitesse de la Lumière », nécessité d'une nouvelle approche du comportement des rayons lumineux dans l'espace. Mon approche philosophique et logique, à travers un paradoxe, démontre l'impossibilité de l'invariance de la vitesse de la lumière. Henri Vidersan, dans La matière et la lumière, aborde les aspects, mathématique et physique, de cette mise en questionnement de la science actuelle. Nos deux démarches sont donc complémentaires." Philippe de Bellescize

 

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Dans ce livre je réponds aux principales critiques que l'on peut faire, en ce qui concerne l'objection de la navette et du missile. Il y a aussi les divers diagrammes d'espace-temps expliqués et commentés. J'explique aussi pourquoi, dans le cadre d'une simultanéité absolue, la vitesse de la lumière ne peut pas, dans certains cas de figure, être invariante. On trouve en annexe 4 une lettre ouverte à Lee Smolin, qui ouvre la voie vers une nouvelle conception de l'espace-temps.

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Il n'y a pas forcément, pour la vitesse de la lumière, que deux solutions possibles :

Celle d'Einstein (invariance de la vitesse de la lumière par rapport aux différents référentiels inertiels);
Celle d'un référentiel privilégié de Lorentz;

à ce sujet on trouve, en tapant « théorie de l'éther de Lorentz », sur Google :

« Or, en théorie de l'Éther de Lorentz, la vitesse de la lumière n'est isotrope que dans le référentiel de l'Éther et anisotrope sinon ; les référentiels inertiels ne sont pas physiquement équivalents.»

Il y en a au moins une troisième :

Celle de référentiels localement privilégiés :

Ce point de vue n'a pas été considéré par la physique depuis la naissance de la relativité restreinte. Il aboutit à une nouvelle vision de l'espace-temps, un nouveau cadre conceptuel pour la physique.

« Je cherche seulement à montrer que, d’un point de vue théorique, l’invariance au niveau physique de la vitesse de la lumière implique la relativité de la simultanéité au niveau physique. Or, cette dernière aboutissant à des contradictions, cela permet d’éliminer de manière certaine la première possibilité. Et, comme on peut sans doute aussi éliminer l’interprétation de Lorentz, il ne reste plus que l’interprétation que je propose : une vitesse de la lumière localement invariante par rapport à certains observateurs inertiels, du fait d’une adaptation constante de la vitesse de la lumière à la configuration spatiale. Or, cet aspect des choses pourrait probablement être mesuré… » Extrait du livre «Et il survolait les eaux vers une nouvelle vision de monde physique ?»

Philippe de Bellescize